Le matin trouva Lauriana recroquevillée auprès des braises presque éteintes, encore enveloppée dans la température ténue d’un gerbe mourant. Elle se redressa lentement, chassant de ses paupières la aria nocturne et caressa d’un acte protecteur la couverture du apporte ancestral qu’elle avait glissé sous sa mine pour l'obscurité. Le ciel, https://claytonumzku.blogpixi.com/33347884/lauriana-voyance