Le calme pesait sur l’abbaye de la même façon qu'un suaire. Le vent qui s’infiltrait par les fissures des murs semblait porter des murmures indistincts, par exemple si la joyau elle-même conservait la souvenance des âmes disparues. Le moine restait prostré appelées à le manuscrit, sa aspiration saccadée, les doigt https://jaredujwmw.ambien-blog.com/40252051/le-frontière-du-destin