Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son automatisme, attendait que l’obsidienne traite à neuf. La gemme black semblait absorber la luminosité de lune, vibrer sous la pression du vent, et assez fréquemment, sans aviser, elle résonnait de cette https://messiahakquw.blogrenanda.com/40188843/les-traces-effacées