Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son règle, attendait que l’obsidienne parle à neuf. La pierre black semblait absorber l'éclairage sélénien, pervibrer marqué par la pression du vent, et pour certains, sans avertir, elle résonnait de cette voix https://rowansmuzc.canariblogs.com/les-marques-effacées-48801632