Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son accoutumance, attendait que l’obsidienne parle à futuriste. La pierre black semblait absorber la clarté sélénite, vibrer par-dessous la pression du vent, et souvent, sans informer, elle résonnait de cette voix séculaire https://dallasqelru.shoutmyblog.com/33079486/le-bouquet-sans-ombrage