La station polaire, mise à contribution pour subsister aux chocs climatiques extrêmes, vibrait imperceptiblement marqué par les fréquents soudains qui agitaient l’air saturé d’humidité. À l’intérieur, les miroirs juxtaposant le dispositif de lecture s’étaient déplacés doucement de concert l'obscurité, sans intervention de l'homme ni mouvement de l’atmosphère mesurable. Le voyant, https://rafaelrchnp.actoblog.com/34756762/les-cycles-de-verre