Depuis les premières manifestations de parfums irréversibles, Isadora avait cessé d’accueillir les gens. Elle restait enfermée dans son usine, entre les alambics, les huiles denses et les poudres végétales, se mettant à les formules d'avant avec soupçon. Les flacons comportant les permis tristes étaient précautionneusement étiquetés et rangés à l’écart, https://connerdrdoz.blogmazing.com/33335497/le-parfum-de-le-destin