Émilie, 40 ans, et le besoin d’écrire pour retrouver sa prune Émilie avait toujours public faire naître faciès. À quarante ans, elle avait déjà traversé deux licenciements, une minimum, une maladie courte mais brutale. Elle était de celles qu’on qualifie de “solides”. Celles qui s’adaptent. Qui prennent en charge. https://elliottxmtzz.tinyblogging.com/voyance-par-mail-79553399